Il est de retour le divin enfant de la Nouvelle-Orléans! C’est avec un énorme plaisir que nous l’accueillons à nouveau avec son fantastique groupe où brille particulièrement, hormis Christian, le guitariste Matthew Stevens.

Entre-temps, il a mis sur orbite son 5e album à l’occasion duquel il s’est choisi un nouveau nom hérité de son grand-père Black Indian de la Nouvelle-Orléans: Christian aTunde Adjuah.

Il en résulte une musique qui prend non seulement ses racines dans cette tradition, mais également dans le hip-hop, le jazz, le rock et la musique africaine.

Une synthèse nouvelle marquée par la forte personnalité du leader. En tant que trompettiste, il est au sommet de son art, notamment par l’utilisation du registre aigu au service d’une dramatisation expressive volontaire de la musique.
S’il fallait décrire mon son, dit-il sans fausse prétention, je me vois comme un mélange de Louis Armstrong pour l’intensité dans le registre aigu et de Miles Davis pour la finesse.

Un quintet de musiciens miraculeux d’à peine 30 ans, une génération qui redéfinit l’idée même qu’on peut se faire du jazz, fagocitant les expressions populaires afro-américaines apparentées pour en faire une seule pâte créative d’où s’envolent des pépites musicales. Nous sommes impatients de vous faire partager notre enthousiasme pour la musique de Christian aTunde Adjuah.